J'offre ce petit chant,
En guis' d' avertissement,
Aux vendus du gouvernement,
Et aux apprentis truands.
Dans un coin un peu pourri,
Du pauvre Samarîis,
Chez l'honnête Barandis,
Point de police mais du vice.
L'autre soir, au Chien Galeux,
Un serpent fanfarona,
Et Barandis, ni une ni deux,
L'envoya saluer les rats.
Alors Ami voyageur,
Ne franchi pas ce seuil
Pour jouer au "Sans Peur"
Tes parents feraient ton deuil.
Koba